23/03 : POUR UN FASCISME LUDIQUE ET SANS COMPLEXE par la cie Grand Colossal Théâtre (théâtre/humour)

20h30 - gratuit pour les étudiants / 15€ : tarif plein / 12€ : tarif réduit

 

billetterie ICI

 

Pour un fascisme ludique et sans complexe par la compagnie Grand Colossal Théâtre 

La chienlit – épisode 1

création 2021 /durée : 1h10 / théâtre / à partir de 10 ans

 

Comment les habitants d’une résidence se retrouvent chez Paul Poupon à une réunion de copropriété sans que personne ne les ait invités et comment finissent-ils par créer une association de riverains en colère pour le désigner président.

 

Pour un fascisme ludique et sans complexe est le premier opus d'une série théâtrale intitulée La Chienlit. Cette série raconte comment une commune sans histoires va sombrer dans le chaos à partir d’une petite étincelle : une grève des éboueurs. Il y sera question de fascisme donc, mais sans treillis militaire ni moustache carrée. Alexandre Markoff préférant traquer les ferments du totalitarisme dans la folie joyeuse et burlesque d’une réunion de co-propriété.

 

Dans ce 1er épisode, nous suivons Paul Poupon. Velléitaire et sujet à la mélancolie, il a végété entre des tentatives littéraires avortées et de trop longues études. Il est désormais professeur d’Histoire-Géographie, au collège de la ville. Par une fin d’après-midi de juin, il est rentré chez lui après une longue journée de travail et s’est jeté sur son canapé. On sonne à la porte. C’est Madame Singer, sa voisine. Elle lui parle d’une réunion qui devrait avoir lieu ce soir, chez lui. Paul n’est pas au courant. Il s’apprête à la congédier quand survient Monsieur Berthelot venu lui aussi participer à la réunion, puis Monsieur et Madame Maréchal et bientôt une dizaine d’habitants de la résidence. Paul les laisse entrer et tout en les regardant s’installer dans son salon sent une profonde exaspération monter en lui.

 

 

TELERAMA - TTTT: Les huit truculents comédiens se surpassent dans cette désopilante galerie de portraits, qui offre un éclairage effrayant sur les petits travers d’une classe moyenne engoncée dans un idéalisme bourgeois, jusqu’à l’irrémédiable chute. Du théâtre entre David Lynch et Intervilles.




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